BILAN 2015 - Les jeux finis par Dimitri.



Petit bilan qui marque la fin de ma première année de retour aux jeux-vidéo. Une année marquée par l'étonnement. En effet, le monde des jeux-vidéo à tellement changé depuis que je l'avais laissé au début des années 2000. Je ne vais pas m'étaler sur le sujet, puisque c'est le propos des articles que je publie tout au long de l'année. Au final, j'ai passé une très bonne année dont voici une petite retrospective des jeux terminés.


1 - Final Fantasy XIII (PS3)

Le premier jeu auquel j'ai joué en HD. Un final Fantasy en plus! J’imaginais la liberté absolue d’un monde ouvert à la GTA liée à l’univers de Final Fantasy… Mais non. J’ai plutôt eu la sensation de jouer à un Crash-Bandicot-like dans l’univers de FF. Je m’attendais également à un système de d’évolution incroyable, qui surpasserait les matérias et le sphérier de beaucoup. Mais là aussi une rigidité surprenante s’est faite ressentir.

Pour défendre le jeu, je n’y ai joué qu’une cinquantaine d’heures, juste assez pour suivre l’histoire de base, mais il m’a toutefois semblé entrevoir un peu plus de liberté une fois le jeu terminé. Malgré cela, les défauts susmentionnés m’ont toutefois poussé à ne pas me risquer plus loin dans l’aventure. Notons par contre, mais ceci est propre à la série, un scénario de qualité qui est un de ceux qui m'a le plus porté de la série.


Note: B-
Mention: Un bilan mitigé... un bon jeu, mais dont les points forts ne correspondent pas à ceux qui caractérisent la série.


2 - Journey (PS3)

Une incroyable surprise. Un des deux jeux, avec Limbo, qui m'ont fait découvrir l'univers du jeu indépendant. Un des premier jeux HD que j'ai fini. Un agréable voyage.

Note: A
Mention: Superbe bande-son.


3 - Flower (PS3)

Si on m'avait dit qu'un jour dans un jeu j’incarnerai un pétale de rose… Et qu’en plus je finirais ce jeu…

Note: B+
Mention: Belle utilisation du Dual Shock 3.


4,5 - Mega Man 5 & Mega Man 6 (NES)

Deux épisodes de Mega Man sympas, avec comme d'habitude Roll qui change ces utilités à chaque opus. Celles du sixième sont mes préférées jusqu'à maintenant tous épisodes confondus. Les classiques rencontres avec Proto Man sont toujours de mise, et il faut bien avouer qu’au niveau du scénario, cela n'apporte pas grand chose... à part jouer de la flûte...

D'une manière générale, ces opus restent classiques et ne prennent pas de risque... D'autant plus que certains stages affichent clairement un essoufflement créatif des développeurs; je pense notamment à Plant Man et Wind Man qui sont des copies de Wood Man et Air Man de Mega Man 2.

Note: B
Mention: Mega Man forever.


6 - Mega Man 7 (SNES)

ATTENTION! Passage de la série phare de Capcom sur Super Nintendo! Globalement, le passage est réussi, même s’il reste quelques défauts. Premièrement il y a comme un changement d'échelle, c'est à dire que tout est plus grand; encore plus que dans Mega Man X. Personnellement, je pense que c'est trop grand, mais bon... de plus les hit box sont bien moins précises que sur NES. Problèmes surprenants pour une licence qui nous avait habitué à être très précise dans le domaine...

Le point fort du jeu réside dans le scénario. L'idée que Willy retourne dans un musée pour récupérer les robots que Mega Man avait battus dans les précédents opus était plutôt cool. Dommage que les développeurs n’aient pas poussé l’idée plus loin, en nous obligeant à réaffronter certains des ennemis par exemple. Notons tout de même l’introduction de Bass, qui remplacera Proto Man et amènera une profondeur scénaristique, seul point fort du jeu.

Note: C
Mention: Le Mega Man le plus nul de la série.


7 - Virtua Tennis 3 (PS3)

Le mode solo est chouette, avec notamment l'école de tennis qui est pratique pour maîtriser les coups spéciaux. Le problème majeur de ce soft réside dans un manque de positionnement clair quant au style du jeu. Si Virtua tennis 2 était clairement un jeu d’arcade, le troisième opus de la série semble se diriger lentement vers un style plus simulation. C'est-à-dire, que certains coups comme les coups droits et les plongeons sont à envisager avec une approche arcade, mais les amortis et les slice sont quant à eux plus proches de la simulation. Dans ces conditions il est difficile de se plonger vraiment dans le jeu.

Note: B
Mention: Quel plaisir de battre Roger et de devenir n°1.


8 - Mario Kart DS (DS)

Un très bel épisode de Mario kart. La proposition de deux mode championnat - retro et nouveau - est excellente. Le jeu présente une difficulté croissante très bien gérée et arriver à la fin du mode mirroir représentera un challenge relevé. Quelques regrets tout de même pour le mode quête qui aurait pu être vraiment plus cool; l'idée était bonne mais pas assez exploitée.

Note: A
Mention: Un bon Mario Kart avant la catastrophe de l'épisode Wii.


9 - Dragon Ball – Revenge of Piccolo King (WII)

Les parties plateforme sont sympas, mais pas top. Les partie en versus sont pas mal, mais pas top. Bref, le game play est très limité. 

J'ai tout de même fini le jeu en mode histoire, pour le plaisir de m’immerger à nouveau dans cette histoire qui a bercée mon enfance, et je l’ai fait avec grand plaisir. Mais même sur ce point, la suppression et la censure de certains passages font de ce mode un atout considérable… mais pas top.

Note : B-
Mention: Pourquoi avoir supprimé le combat contre invisible man !?!


10 - Time Crisis 2 (PS2)

Les Time Crisis c'est cool! Un peu court... mais cool! Et normalement à deux c'est beaucoup mieux. Et bien pas ici. Le mode deux joueurs est tout pourri, car en écran splitté… Vous devrez donc sacrément plisser des yeux… ou alors vous tourner sur mode un joueur avec deux pistolets et vous partager les armes.

Note: B
Mention: Banana Splitt.


11 - Mega Man X2 (SNES)

Comme pour chaque suite d’un jeu culte, j'étais inquiet: le jeu sera-t-il au niveau de son prédécesseur? Mais Mega Man X2 est un excellent jeu. Le game play et les graphismes restent fidèles au premier opus, mis à part quelques mouvements différents liés au fait que les armures à trouver conférant un nouvel item changent quelque peu. Les musiques sont excellentes et les stages très classes. Notons également une atmosphère relativement différente de Mega Man X: une ambiance post-quelque chose, plus sombre que le premier opus, qui est très bien traduite et tout à fait cohérente. Une bonne surprise finalement!

J'emmettrais cependant quelques réserves quant à certains boss en pseudo 3d - le boss final notamment – un effet peut-être révolutionnaire en son temps, mais qui a vraiment mal vieilli.

Niveau scénario, on en apprend plus sur la relation entre Zero et X. Si dans le premier opus il était possible de faire des Hadoken, il paraîtrait que dans le deuxième opus ceux-ci soient remplacés par des Shoryuken. A vérifier, mais si cette option est autant difficile à obtenir que dans le Mega Man X, je vous souhaite bonne chance.

Note: A-
Mention: A peine moins bien que le un.


12 - Wonder Boy 3 - The Dragon’s Trap (Master System)

Voir test.


13 - Xeno Gear X (PS2)

Bande-son heavy metal, personnages futuro-religieux, animations des sprites dynamiques: une bonne découverte, pour un joueur comme moi qui depuis Street Fighter 2 ne s’était plus vraiment investi dans un jeu de combat… mis-à-part Tobal n°1, Rival school et Tekken 3.

Mon pote Xiao m’a dit qu’il est possible de jouer avec la fille du film The Ring... nous avons essayé, mais cela nous a paru bien trop "hard-core" de le débloquer.

Note: B
Mention: J’aime Luca Turilli!


14 - Vvvvvv (3DS)

Voir test.


15 - Ico (PS2)

Voir test.


16 - Go Go Ackman (SFC)

Voir test.


17 - Ni No Kuni (PS3)

Pour savoir ce que je pense de ce jeu je vous propose de vous référer au Cold Game que j’ai fait à l’occasion d’un finissage à 100% du jeu. Je vous donne cependant les notes qui n'y sont pas précisées.

Note: A
Mention: Presque A+. Il manque un petit quelque chose pour que Ni no Kuni devienne un véritable classique du J-RPG.


18 - Teenage Mutant Hero Turtles 3 (NES)

Le principal atout de TMHT 3 est qu'il se joue en co-op, contrairement au premier épisode de la NES, et ça c’est déjà très bien. J’en ai donc profité pour finir ce jeu avec mon ami Marco.

Les graphismes sont très beaux pour une NES. Pour ce qui est du scénario, même si nous avons joué en version japonaise (qui pour l'occasion s’appellent TMHT 2), j’ai aisément pu saisir le côté prétexte de l’histoire… C’est dommage, car le jeu est pas mal, bien qu’un peu linéaire…

Note: B
Mention: Les tortues à la plage.


19 - Teenage Mutant Hero Turtles 4: Turtles in Time (SNES)

Enfin un jeu mémorable de la licence, merci! 

Le jeu est finalement assez proche de TMHT 3, avec bien entendu des graphismes bien mieux travaillés. Mais là où TMHT 4 fait principalement la différence, c’est au niveau du scénario. Car si sur ce point TMHT 3 était en dessous de tout, l’opus de la Super Nintendo présente une histoire certes un peu banale, mais qui portée sur l’univers des tortues, donne quelques surprises plutôt cool. L’histoire est simple, les tortues se font téléporter à travers le temps. Vous affronterez donc une tortue préhistorique, Beebop et Rocksteady habillés en pirates… et miraculeusement nous échappons à l'immanquable stage des pyramides!

Note: A
Mention: Cowanbunga!


20 - Virtua Tennis 2009 (PS3)

Si les Virtua Tennis se numérotent traditionnellement de manière classique ( 1, 2, 3,...), notons que le titre de cet opus est affublé de son année de parution. Et en jouant à Virtua Tennis 2009, on comprend rapidement le pourquoi de cet “hors-série”. Souvenons-nous que Virtua Tennis 3 était marqué d’un immense défaut: l’absence d’un mode online. Visiblement, Virtua tennis 2009 a été développé pour combler ce manque.

Rapidement donc la désagréable sensation de jouer à un Virtua Tennis 3 affublé d’une “interface  2.0” provoque un agacement prononcé chez les aficionados tennistique que nous sommes.

De plus, les développeurs ont pour l’occasion “amélioré” l'éditeur de personnages… et ils ont par dessus tout eu l’idée de générer des personnages aléatoirement pour toute la partie amateur… aïe. Conséquences: nous passons des plombes à attendre que les personnages se génèrent avant les matchs et les résultats sont totalement improbables! Je n'ai absolument rien contre l'idée d'un monde métissé, mais là c’est le grand n’importe quoi. Certains personnages m’ont fait peur et les plus effrayants d’entre eux sont mêmes revenus de manière cauchemardesque me défier durant la nuit.

Accordons tout de même au soft quelques modifications au niveau du gameplay. En effet, là où Virtua Tennis 3 était trop partagé entre un style de jeu typé arcade ou un style plus proche de la simulation, l’opus 2009 lui se dirige plus clairement vers la simulation: les plongeons sont abandonnés et les coups complexes - type amortis - sont bien plus difficiles à exécuter.

Pour ma part, j’ai eu bien plus de plaisir à jouer à Virtua Tennis 3. Peut-être parce qu’il y restait quelques traces teintée d’arcade du Virtua Tennis 2 que j’avais adoré. La réponse sera dans le test de Virtua tennis 4… to be continued.

Note: C
Mention: Non mais putain la gueule de certains persos… Et en plus tu dois les déguiser…


21 - LEGO - The Lord of the Rings (PS3)

Quand j’étais petit j’adorais créer mes propres bases et vaisseaux spatiaux avec les LEGO. Avec l’âge, car il m’arrive encore parfois de jouer au LEGO, je cherche plus à découvrir comment les ingénieurs de la boîte danoise ont réussi à adapter tel ou tel univers avec la banque de pièces comme contrainte. En jouant à LEGO - The Lord of the Rings, j’ai pu retrouver un peu de ce plaisir.

Je précise que c’est le premier jeu LEGO auquel je joue et dans l'ensemble c’est une assez bonne surprise. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre: Le jeu s’adressant à un jeune public, allait-il biaiser l’esprit du film? Comment ont-ils regroupé les trois films en un seul jeu?

Au final le jeu a quelque chose de la parodie tout en restant très fidèle à l’histoire de base. En effet, si pour des raisons flagrantes de temps et d’intérêts, les développeurs ont décidé d’omettre volontairement certaines scènes du films, ils ont conservé exactement les mêmes cadrages des scènes sélectionnées. Ils ont pu ainsi introduire un léger décalage humoristique induit par le fait que dans un moment cruciale du film, un personnage va par exemple regarder ailleurs ou s’encoubler. J’avoue être tout d’abord rester quelque peu perplexe face à l’humour du jeu, mais c’est ce type de scène qui m’ont tout d’abord fait sourire, l’éclat de rire total étant survenu à l’arrivée chorégraphiée des troupes du Rohan.

Les scènes les moins drôles sont pour moi celles qui font office de censure. En effet, le jeu étant destiné aux plus jeunes, les développeurs ont usé du côté parodique pour créer un effet comique lors de scènes tragiques. Et d’une manière générale c’est cette ambivalence que je reproche au jeu.

Même reproche au niveau de la difficulté, car le jeu est plus proche du film interactif et toutes les actions à effectuer vous sont dictées. Le jeu est donc très simple; vous arriverez au bout en moins de dix heures. Les plus grands pourront se retourner vers la quête de trophée dans laquelle je ne me suis pas lancé, mais qui avait l’air très chouette. La carte de la terre du milieu notamment semble apporter pas mal de fun.

Mais finissons sur une note positive en exaltant le fait de jouer sur les musiques originales du film. De plus certaines répliques sont directement tirées du film.

Note: B+
Mention: De 7 à 77 ans…


22 - SHORT PEACE: Ranko Tsukigime’s Longest Day (PS3)

Voir test.


23 - Hammerin’ Harry (NES)

Voir test.


24 - Mega Man 8 (PS)

Voir test.


25 - Pocky & Rocky (SNES)

Voir test.


26 - There is no Game (PC)

Comment définit-on ce qu’est un jeu-vidéo? Est-ce le fait de s’amuser en le pratiquant? Ou simplement se divertir? Doit-on forcément être plusieurs pour jouer? Peut-on appeler jeu, un logiciel nous demandant comme seule action, d’appuyer sur X à un moment précis? Doit-il forcément y avoir une fin?

There is no game est un jeu gratuit qui répondra en une quinzaine de minutes à quelques-unes de ses questions.

Note: A, B et C
Mention: originalité interactive.


27 - Mafia II (PS3)

Voir test.


28 - Virtual Boy Wario Land (Virtual Boy)

Voir test.


29 - Mega Man Willy Wars (Mega Drive)

Voir test.


30 - Jamestown: Legend of the Lost Colony (PC)

Jamestown est un shoot them up indé sorti en 2011 sur PC. Il se distingue par son univers steampunk et son mode multi-joueur. En effet, il faudra toujours qu’au moins un joueur survive pour ne pas perdre de vie, ce qui met beaucoup d’intensité à certaines phases de jeu. Les graphismes  sont somptueux, la maniabilité et les hit-box sont au poil. 

Étant pris dans les hurlements et les cris euphoriques de Marco et Arnaud, je n’ai pas pensé à me pencher sur le scénario, bien qu’il paraisse intéressant. Je crois que nous incarnions une rébellion espagnole et martienne lutant contre les forces britanniques colonisatrices. Le tout se déroule sur Mars. Un peu compliqué, mais ça à l’air bien.

Note: Un multi A.
Mention: Très belle B-O de Francisco Cerda.


31 - Shovel Knight: Plague of Shadows (3DS)

Voir test.


32 - Her Story (PC)

Voir test.


33 - Kung Fu (NES)

Kung Fu est sorti sur NES en 1985. Il est l’adaptation de Kung Fu Master sorti en 1984 sur borne d’arcade, puis adapté sur une multitude de support jusqu'au début des années 90. Son nom japonais est Spartan X à l’image du film du même nom mettant en scène le fameux duo Jackie Chang et Sammo Hung. Le film est sorti chez nous sous le nom La soif de justice. Les développeurs y ont également ajouté le principe bien connu du film de Bruce Lee Le jeux de la Mort.

Face à nous se présente donc un jeu qui, à l’instar d’un jeu de plateforme est constitué d'un plan horizontal dans lequel le saut ne vous servira pas à éviter les trous - il n'y en a pas -, mais à exécuter des coups de pieds sautés: Yaaaahh! Pour terminer un niveau, il vous faudra donc résister au flow incessant d’ennemis arrivant des deux côtés et vaincre le boss de chaque étage. Un concept novateur à l’époque qui désigne le soft comme le premier beat’em all de l’histoire. Il vous faudra donc gravir tous les étages afin de sauver Silvia, votre petite copine qui a été kidnappée par Thomas. La difficulté augmente à chaque étage en variant les ennemis: certains vous agrippent, d’autres vous frappent et certains lancent des couteaux.

Kung-fu est également un représentant des premières pochettes de la NES qui avaient toutes une ligne similaire et épurée que j’adorais. On les appelle les black-box il me semble. Le titre était toujours écrit en diagonale est accompagné d’un sprite agrandi. Magnifique.

Je l’ai terminé avec mon frère sur émulateur. Nous possédions ce jeu à l’époque et nous ne l’avions pas terminé. En effet, la difficulté est plus que relevée, et si nous l’avons terminé en trente minutes grâce aux save-state, il nous aurait fallu plusieurs heures pour le finir de manière honnête. Nous avons donc parcouru les différents stage avec un grand plaisir en nous remémorant quelques bons souvenirs. Notons pour terminer, mais cela était fréquent à l’époque, que le jeu n’a pas de musique mis à part celle de l’écran titre.

Note: Un A pour un jeu clé de l’histoire.
Mention: Une difficulté proche de l’impossible digne des vieux jeux arcades qui avaient pour but de nous faire cracher notre petite monnaie.


34 - Battle of Olympus (NES)

Voir test.


35 - God of War (PS3)

A venir!


36 - Nidhogg (PC)

C'est mon ami Marco qui m'a fait découvrir cette perle. Car oui pour jouer à Nidhogg il faut des amis, ou alors y jouer en ligne... mais c'est moins bien. J'ai terminé le mode single player mais rien de bien palpitant. Non, faîtes-vous une soirée tournoi Nidhogg avec des potes, vous allez vous poiler.


Dans la mythologie nordique, Nidhogg est un grand serpent. Vous affronterez votre adversaire afin de savoir lequel des deux aura l'honneur d'être sacrifié à Nidhogg. Quatre stage différents, mais tous symétriques, présenteront leurs embuches propres. Le joueur de doite doit aller à gauche et l'inverse pour le joueur de gauche. Pour ce faire, vous aurez à disposition, vos mains ou une épée. Ce soft vous promet des heures de franche rigolade.


Note: A

Mention: Les musiques de Deadelus, tout comme les graphismes 8-bits, sont splendides.


37 - Apocalypse (PS)

Voir SHIT x TEST.


38 - Tearaway (PS4)

Voir test.


39 - Gauntlet: Slayer Edition (PS4)

Je ne sais pas si je peux vraiment prétendre avoir terminé ce jeu. Pourquoi? Et bien pour la simple et bonne raison que je n'ai fait qu'un tiers du jeu avec Lucien de lucienetdimitrijouentauxjeuxvideo.com en ligne. Et comme nous avons vaincu le boss final ensemble, tous les stages ont été débloqués.

Est-ce que j'ai triché? Je ne peux le dire, mais mon instinct d'ancien gamer n'est pas à l'aise face à cette situation. A l'époque on savait si on avait fini un jeu... on en avait chié! Et là... En plus Lucien a passé la cinématique de fin... quelle frustration.

Bref, le jeu est assez chouette, même si les typos sont étrangement très petites. Un rogue-like de bonne facture. Un rogue-like c'est quoi? C'est un jeu où les niveaux sont générés aléatoirement et qu'il faut en passer le plus possible sans mourir.

Note: B
Mention: La co-op en ligne avec le micro c'est chouette.


40 - Super Mario Paper (WII)

A venir!


41, 42, 43 - Golden Axe 1, 2 et 3 (Mega Drive)

Et pour terminer l'année, une petite trilogie mythique: Golden Axe. Vous l'avez tous constaté une fois ou l'autre en regardant un dessin-animé ayant bercé votre enfance: nous avons tendance à magnifier nos souvenirs. Ces animations de piètre facture étaient restées pour nous proche de la perfection. J'ai ressenti une désillusion de ce type en jouant à Golden Axe.


Vous partez à la quête de la Golden Axe en incarnant soit un nain, une amazone ou un guerrier. La possibilité de jouer à deux est le gros point fort du jeu. Je ne suis pas sûr, mais j'avais dû faire la version arcade, car je me rappelle de musiques entraînantes et d'assez beaux graphismes. Sur Megadrive rien de tous cela: la bande-son est mollassonne et si les graphismes ne sont pas ce qu'il y a de pire sur Mega drive, ils sont très loin en qualité de mon souvenir.


Le deuxième épisode me semble être le meilleure. Les sprites sont redessinés dans une approche plus mature, notamment les petits gnomes qui deviennent des sortes d'homme des sables qui peuvent vous attaquer. Notons que, comme dans tous les épisodes, les hit-box ne sont pas précises, ce qui est embêtant pour des jeux qui ne lésinent pas sur la difficulté.


La difficulté est d'ailleurs tellement relevée que cela en devient le principal défaut du troisième épisode, qui est presque impossible à terminer sans save-state. D'une manière général le jeu est, comme les autres, assez linéaire, bien qu'il offre cette fois-ci la possibilité entre plusieurs chemins. Notons également l'apparition de nouveau personnages, mais la disparition du nain...


Au final, c'est avec tristesse que je dois admettre que la série a mal vieilli.


Note: C+

Mention: Un petit plus parce que se sont des jeux cultes.


Et voilà. 


C'est parti pour une nouvelle année. 


2016. 


Alors pour le planning, je souhaite faire deux séries entières: God of War et Wario Land. J'aimerais également terminer la série des Mega Man, il me reste le 4, le 9 e le 10... mais le 9 et le 10 sont-ils vraiment des Mega Man? Vous aurez la réponse dans les tests. Je me lancerai ensuite dans les Mega Man X, mais ils sont très dur à trouver... on verra.


Merci aux quelques personnes qui lisent nos tests. Merci à tous ceux qui ont participé aux Cold Game. Merci à Marco pour les apéros saucisson. Merci à Lucien pour sa fidélité sans faille.


Des bisous.


Dimitri